Le Pr Adlkofer défend son étude REFLEX |
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Écrit par Eric | ||
Lundi, 19 Septembre 2011 23:22 | ||
Des effets génotoxiques comme les ruptures de brins d’ADN ont été observés dans des fibroblastes humains isolés exposés aux rayonnements UMTS avec un taux d’absorption de 0,05 W/kg, correspondant seulement à un quarantième de la limite d’exposition actuelle. Sous les rayonnements GSM et avec des conditions identiques d’expérimentation, un taux d’absorption de 0,3 W/kg, c’est à dire le sixième de la limite actuelle d’exposition, a été nécessaire pour augmenter sensiblement le taux de rupture des brins d’ADN.
Suite aux accusations de l'industrie, deux commissions d'enquête ont été chargées d'examiner le dossier, sans parvenir à prouver une quelconque falsification des résultats. Pourtant, l'OMS n' a pas tenu compte de l'étude. Dans le cas contraire, les GSM auraient vraisemblablement été classés comme "probablement cancérigènes", au lieu d'actuellement "potentiellement cancérigènes". Rappelons que l'OMS avait par contre accepté la présence d'une personne en conflit d'intérêt au sein de l'équipe chargée d'évaluer le degré de toxicité des GSM.
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Mise à jour le Lundi, 29 Juillet 2019 12:22 |