La ministre de la santé reconnaît expressément qu'il y existe des doutes scientifiques, sans pour autant appliquer le principe de précaution (si ce n'est de façon cosmétique), laissant encore et toujours le bénéfice du doute aux puissants plutôt qu'aux plus fragiles. Au nom des droits humains fondamentaux, cette situation est tout à fait inacceptable.
Et ce ne sont pas les mesurettes prises, tant en région wallonne qu'en région bruxelloise, qui y changent quoi que ce soit, ce d'autant que les arrêtés d'applications en diluent encore un peu plus leur maigre portée. Par rapport à l'ampleur du problème, ces mesures ne sont que des écrans de fumée et montrent que les politiques ne connaissent pas leurs dossiers.
Il est patent que quantité de responsables politiques font une analyse superficielle des choses ("je ne suis pas scientifique") et s'en laissent conter par un Institut "scientifique" de service public (ISSP) complaisant et partial. Cette confusion profite très largement à l'industrie et, dans les faits (derrières les effets d'annonce de réduction des normes) à un statut quo inacceptable.
Nous vous invitons donc cordialement à signer la pétition (disponible en 4 langues)
sur www.petition-electrosmog.be.
Au nom de toutes les personnes vulnérables (50% de la population en 2017 ?),
MERCI DE VOTRE SOUTIEN.
MERCI DE FAIRE PASSER LE MESSAGE.