Un débat très animé, organisé par notre regretté Pierre Debeffe à Aubange en 1993, est à l’origine de notre association. Jean-Marie Danze et Daniel Comblin, experts scientifiques en ligne haute tension faisaient face à ceux d'Electrabel. Concernés par des lignes à haute tension, Pierre Debeffe à Aubange et Jean Delcoigne à Frasnes-lez-Anvaing restèrent ensuite en contact. Ils créèrent deux ans plus tard l’association Teslabel, dont le nom rappelle l’unité de champ magnétique et la Belgique, mais diront certains, est aussi une allusion au distributeur historique d’électricité… et du champ magnétique associé. Visitez aussi notre page facebook facebook.com/TeslaBEL


La pollution électromagnétique explose, le nombre de malades aussi... Imprimer Envoyer
Écrit par Eric   
Vendredi, 14 Février 2014 01:48
(14-2-14) Pure coïncidence ? On peut télécharger des vidéos en quelques secondes sur son gsm, mais il n'y a jamais eu autant de mal-être. A croire que cela ne rend pas heureux. Cela fait-il au moins tourner l'économie ? On peut en douter, à la lecture des publications ci-dessous. Et même craindre l'écroulement de la sécurité sociale, ou carrément une paralysie complète de notre économie, si on continue dans cette voie.
La consommation de médicaments n’arrête pas d’augmenter en Belgique
 
C'est ce qu'il ressort du dernier tableau de bord pharmaceutique de l’Institut national d’assurance maladie-invalidité (Inami). En 2012, 4,96 milliards de doses (1) ont été délivrées. Cela représente une augmentation de 2 % par rapport à 2011. Depuis 2004, le nombre de doses a crû de 5 % par an. Précision : ces chiffres se rapportent uniquement à la prescription des spécialités pharmaceutiques remboursées dans la pratique ambulatoire. Les médicaments non remboursés, les préparations magistrales et les délivrances en milieu hospitalier ne donc sont pas pris en compte.

Au-delà de la consommation globale, à nouveau en hausse, quels sont les principaux enseignements de la dernière version de ce tableau de bord, réalisé par le comité d’évaluation des pratiques médicales en matière de médicaments ?

Quatre groupes de spécialités pharmaceutiques monopolisent près de trois quarts des doses prescrites (72,2 %). Au premier rang, figurent les médicaments cardio-vasculaires (contre l’hypertension et le cholestérol), qui constituent 40 % du total des prescriptions. Les trois autres classes les plus prescrites sont les médicaments du système gastro-intestinal et métabolisme (13 %, notamment pour le diabète), du système nerveux central (10,6 %, notamment les antidépresseurs et antidouleurs) et du système respiratoire (8,7 %, entre autres pour l’asthme). A titre d’exemples : 1,4 million de patients ont reçu un remboursement pour au moins un médicament pour l’asthme ou la broncho-pneumopathie chronique obstructive; 2,5 millions pour l’hypertension; 600 000 pour le diabète; et 48 000 pour la maladie d’Alzheimer. A noter que les antibiotiques ont toujours la cote. Le volume de prescription est à la hausse en 2012, comme en 2011.

 
 
Stress, burn-out, dépression, violence, psychopathes
 
64% des travailleurs sont stressés, 27 % ont des souffrances physiques et psychologiques consécutifs au stress, d'où diminution des performances (d'où crise, clés sous le paillasson, chômage...)  Cela préoccupe tous les politiciens, mais en attendant les mêmes veulent tous l'exposition complète de la population à la 4G... Alors, en route vers 100 % de stress et de paralysie économique ?

 

Le nombre de personnes en incapacité de longue durée pour troubles psychiques, et qui bénéficient d'une intervention de la mutuelle atteint pratiquement les 100.000 en Belgique !! Ce qui représente une augmentation de 5 à 6 % par an, soit 25 à 30 % entre 2007 et 2012...
http://www.hln.be/hln/nl/37/Psycho/article/detail/1712660/2013/09/27/Depressies-en-burn-outs-treffen-steeds-meer-Belgen.dhtml 27/9/2013
 
8826 certificats médicaux en 5 mois dans l'administration wallonne, 336 agents en burn-out !
 
(NB Le ministre écolo Nollet estime que les Wallons sont suffisamment bien protégés contre les rayonnements gsm wi-fi, et que la pollution électromagnétique est utile, tout comme les pesticides.) 
  
Le corps enseignant terrassé par le stress :
 
Les absences de plus d'1 an continuent d'augmenter : 3% en 2011 9 % en 2012 14 % en 2013
 
Les absences de plus d'1 mois ont augmenté de 47% entre 2008 et 2012 ! On pointe le stress et burn-out, surtout après 50 ans (ce qui ne nous étonne pas, vu que la myéline des nerfs, couche grasse protectrice des neurones, qui empêche les "courts-circuits" dans le cerveau, et évite d'avoir "les nerfs à fleur de peau", ne se régénère plus après l'âge de 40 ans (*), et donc si on y ajoute 10 ans d'électrisation aux rayonnements gsm wi-fi, on arrive à 50 ans avec une fonte irréversible de cette espèce d'isolant).
 
Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué :
 
Une exposition prolongée aux rayonnements électriques provoque stress, dépression, burn-out et actes de folie (suicides, meurtres...). Les drames familiaux sont en forte augmentation depuis 2007 (affaire Geneviève Lhermitte, peu de temps après l'installation d'antennes 3G à Nivelles...)
 
Les cas d'asthme ont doublé en 15 ans
 
C'est ce que nous apprend le nouveau site de la ministre de la santé wallonne (en Belgique, pour 11 millions d'habitants, nous avons un ministre de la santé pour chacune des 3 régions, plus un ministre de la santé germanophone, un ministre de la santé de la fédération Wallonie-Bruxelles et une ministre de la santé fédérale Wallonie-Bruxelles-Flandre... Mais il n'y a jamais eu autant de malades. Peut-être parce qu'aucun de tous ces ministres, ni de leurs collègues ministres de l'Environnement, n'a pensé à protéger sa population des rayonnements ?)
Les particules fines ne sont pas les seules responsables. Il y en avait déjà il y a 15 ans. Les expériences sur les protozoaires ciliés et les fourmis (notamment) montrent que l'activité ciliaire est paralysée par les rayonnements gsm. Or si les poumons ne se nettoient plus, on peut imaginer que les gens vont avoir des difficultés à respirer. Evidemment, d'autres mécanismes (transport de l'oxygène dans le sang etc.) pourraient expliquer pourquoi tant d'électrosensibles éprouvent des problèmes respiratoires ...qui disparaissent dans une cage de faraday
 
Voir aussi :
 
Notons que le nouveau site de la ministre de la santé wallonne élude les rayonnements gsm wi-fi de la catégorie 2B des agents cancérogènes. Tout ce qu'ils méritent, est d'être noyés dans un "etc."
"La troisième catégorie (catégorie 2B) énumère une série d’agents pour lesquels des constats de cancérogénicité considérés comme crédibles chez l’homme existent, mais dont on ne peut totalement exclure d’autres explications. C’est le cas, par exemple, des gaz d’échappement des moteurs à essence, des champs magnétiques et électriques de fréquence extrêmement basse, etc."
 
Notons enfin que la plupart des ministres de la santé et de l'Environnement sont socialistes ou écolo, deux partis de gauche. Ils devraient savoir que les problèmes de l'Environnement touchent surtout les classes défavorisées défendues par la gauche. La pollution électromagnétique ne fait certainement pas exception. Car qui ne peut se payer des cages de faraday et autres protections onéreuses ? Qui ne peut déménager de son logement social s'il y a une antenne sur le toit (les opérateurs ont une prédilection pour installer leurs antennes sur les habitations sociales) ? Qui se prend la plus grande densité de portables, gsm, wi-fi, dect et fours à micro-ondes ? Qui ne peut se permettre de quitter son emploi à cause de la pollution électromagnétique qui y règne ? Evidemment, c'est plus simple de faire comme si cette pollution n'en était pas une...
 
 
Troubles du sommeil
 
Un Belge sur 4 en a :
 
Le dernier rapport de l'agence nationale française ANSES sur les rayonnements des radiofréquences (gsm wi-fi etc.) mentionne les troubles du sommeil, en s'empressant d'ajouter qu'il ne s'agit que d'une conséquence biologique, et non sanitaire, autrement dit d'une conséquence mineure. Un de nos membres qui se plaignait à l'IBGE (responsable de la gestion des antennes en région bruxelloise) a également reçu comme réponse (par téléphone hélas) que les seuls problèmes connus pour les riverains d'antennes, sont les troubles du sommeil. Comment nos responsables politiques, chargés de veiller sur notre santé comme le prévoit la Constitution, peuvent-ils accepter d'encore considérer les troubles du sommeil comme mineurs, après toutes les études alarmantes sur le manque de sommeil, telles que celles-ci :
 
1) Des scientifiques suédois ont présenté mardi une étude éclairant un peu mieux les méfaits d'une nuit blanche sur le cerveau. Ces chercheurs en neurologie de l'université d'Uppsala ont analysé le sang prélevé un matin chez 15 jeunes hommes en bonne santé, dont certains venaient de dormir huit heures, et d'autres pas du tout. Chez ces derniers, ils ont constaté une hausse d'environ 20% de la concentration de deux molécules, l'énolase spécifique des neurones et la protéine S-100B.Or, "le nombre de ces molécules du cerveau augmente habituellement dans le sang à l'occasion des lésions cérébrales", a indiqué dans un communiqué le coordinateur de l'étude, Christian Benedict. "Un manque de sommeil peut favoriser le processus de neurodégénérescence", tandis qu'à l'inverse, "une nuit à bien dormir pourrait être d'une importance critique pour le maintien de la santé du cerveau", a-t-il ajouté. L'étude, à paraître dans la revue Sleep (Sommeil), fait suite à une autre, publiée en octobre dans la revue américaine Science, qui avait conclu que le sommeil accélérait le nettoyage des toxines du cerveau. Parmi elles, on trouve la bêta-amyloïde qui, quand elle s'accumule, favorise la maladie d'Alzheimer, selon les chercheurs de l'université de Rochester (Etats-Unis), qui ont travaillé sur des souris.
3) Les personnes qui dorment moins de six heures par nuit ont environ 12% de chances supplémentaires de mourir de manière prématurée par rapport à celles dormant entre six et huit heures, indique mercredi une étude de l'Université de Warwick.
"L'étude offre des preuves irréfutables sur le lien direct entre une brève durée du sommeil (moins de six heures par nuit) et une augmentation de la probabilité de mourir prématurément. La recherche note cependant aussi qu'un sommeil régulièrement trop long (plus de neuf heures par nuit) peut représenter un souci", indique un communiqué de l'Université.

6) (8/11/15) Mauvais sommeil > prédisposition aux infections, rhume...

Enfin, heureusement, il nous reste l'amour... Bonne Saint-Valentin !

Mise à jour le Jeudi, 06 Octobre 2016 22:57