Notre association lutte pour le retour à un environnement sain, auprès des autorités et du public obnubilés par des technologies sans fil qui électrisent en permanence tous les organismes vivants, perturbant gravement notre fonctionnement biologique et notre mental, et accélérant vieillissement, maladies et décès, même chez les non-utilisateurs. Le réseau électrique lui aussi provoque des champs électromagnétiques électrisants délétères, chez les êtres vivants séjournant à proximité des lignes à haute tension et des transformateurs. Nous venons en aide aux personnes conscientes d'être électrosensibles. La grande majorité des électrosensibles ignorent cependant qu'ils le sont, et sont donc soignés à coups de palliatifs alors que la cause reste active. La négation entraîne l'accumulation!
Un débat très animé, organisé par notre regretté Pierre Debeffe à Aubange en 1993, est à l’origine de notre association. Jean-Marie Danze et Daniel Comblin, experts scientifiques en ligne haute tension faisaient face à ceux d'Electrabel. Concernés par des lignes à haute tension, Pierre Debeffe à Aubange et Jean Delcoigne à Frasnes-lez-Anvaing restèrent ensuite en contact. Ils créèrent deux ans plus tard l’association Teslabel, dont le nom rappelle l’unité de champ magnétique et la Belgique, mais diront certains, est aussi une allusion au distributeur historique d’électricité… et du champ magnétique associé. Visitez aussi notre page facebook facebook.com/TeslaBEL
(23/03/11) En 2010, quelque 284 millions de doses d’antidépresseurs ont été vendues en Belgique, soit près de 4% de plus qu'en 2009.
Les antidépresseurs et somnifères font partie des médicaments qui provoquent une accoutumance.
Léo Neels, directeur de Pharma.be, révèle que 283.860.743 doses journalières définies (DDD) d’antidépresseurs avaient été vendues en 2010. Soit une augmentation de 4,3 % par rapport à 2009.
Dans les hôpitaux aussi, la tendance est à la hausse. En 2009, 7.351.482 DDD avaient été utilisées. En 2010, on constate une hausse de 18,6 %, soit quelque 8,7 millions de DDD.
(24-02-11) A l'initiative de Michele Rivasi, députée européenne et fondatrice du Criirem en France, s'est tenue à Bruxelles une première réunion visant la mise sur pied d'une coordination européenne d'avocats sur le thème de la téléphonie mobile et de la santé.
L’électrosensibilité ou EHS (ElectroHyperSensibilité) est une intolérance aux champs électromagnétiques émis par des technologies sans fil du type antennes-relais, portables, wifi, wimax, téléphones sans fil de maison (DECT), écoute-bébés, consoles de jeux sans fil, bluetooth, puces RFID, compteurs d’eau ou électricité radio relevés..
Notre partenaire, l'association Robin des Toits en France, publie ce dépliant explicatif. Vous pouvez le técharger ici. N'hésitez pas à le distribuer autour de vous.
Dans un message spectaculaire paru dans le Journal de Médecine Professionnelle et Environnementale le 24 janvier 2011, deux des principaux chercheurs de l’étude internationale Interphone – sur les conséquences de la téléphonie mobile sur la santé – conseillent dorénavant la chose suivante…
« Des mesures simples et bon marché, comme l'utilisation de SMS, des kits mains libres et/ou le mode haut-parleur du téléphone pourraient considérablement réduire l'exposition du cerveau au téléphone portable.
Donc, jusqu'à ce que des réponses scientifiques définitives soient disponibles, l'adoption de telles précautions, particulièrement parmi les jeunes, est recommandée.
Comme il ressort de l'étude Interphone et d'autres études, et bien que davantage de recherches soient nécessaires, la possibilité d'un risque accru de gliome - une forme particulièrement dangereuse de tumeur cérébrale - à long terme chez les grands utilisateurs est préoccupante. Même un risque faible au niveau individuel pourrait finalement aboutir à un nombre considérable de tumeurs et constituer une importante question de santé publique. »
(28/01/11) Ci-dessous l'appel à une réunion publique organisée par la commune de Watermael-Boisfort ce 1er février. Ils invitent l'IBGE à expliquer comment va se calculer à l'avenir les niveaux de rayonnements micro-ondes présents dans nos rues, nos maisons et partout dans nos espaces de vie.
Il serait intéressant qu'un maximum de gens puissent aller interpeller nos représentants publics censés oeuvrer à la protection de notre santé, notamment au sujet du changement du mode de calcul des mesures, assumé par monsieur Benoît Willockx (IBGE) dans la presse, qui est ce soir-là l'orateur principal.
(Teslabel, 29/12/10) On en parle moins, et pourtant la pollution électromagnétique liée aux antennes FM peut également être redoutable. À la demande de commerçants du centre-ville de Liège, Eric Brasseur a lancé une pétition contre le rayonnement anormalement puissant que les antennes d'émission de chaines de radio publique FM envoient sur les immeubles de la ville.
Elle peut être signée en ligne à l'adresse http://9006.lapetition.be et un document imprimable est téléchargeable pour la version papier.
Olle Johansson est professeur associé à l’Institut Karolinska (*) à Stockholm, un des centres de recherche médicale les plus avancés en Europe. En expert indépendant et fin observateur de la problématique de l’explosion de la pollution électromagnétique au cours de ces 15 dernières années, il nous résume ici en 7 minutes l’état de cette « pandémie » et de son déni continuel par un certain establishment.
Co-auteur du fameux Rapport Bioinitiative en 2007, une vaste revue indépendante de quelques 2000 études sur la question, il explique aussi toute la différence entre l’accès à la véritable connaissance et celle qui se laisse influer, parfois malgré elle, par les bailleurs de fonds. En dépit d'études à l'apparence rigoureuse, cette science-là, qui pêche souvent par omissions et autres évitements, nous livre un tableau déformé et trompeur de la réalité.
Ceci est un appel d’éveil. Vous faites partie, sans le savoir et sans y avoir consenti, d’une vaste expérience qui porte atteinte à votre immunité et à celle de vos enfants.
Stop ou encore avant d'y voir plus clair ?
Parlez-en à votre médecin (qui sent probablement bien qu'il y a quelque chose qui ne tourne pas rond, tout en restant très mal informé).
Parlez-en à vos représentants politiques (qui jouent en général l'esquive, l'ignorance et l'inexpertise) et mettez-les en face de leurs responsabilités.
Et puis surtout parlez-en à vos enfants !
(*) Unité de dermatologie expérimentale - Département de neuroscience
(Le Vif, 7/12/10) Selon une étude danoise, l’utilisation d’un téléphone mobile durant les mois de grossesse augmenterait le risque d’avoir des enfants présentant des troubles du comportement. Ce risque s’intensifie lorsque ces enfants utilisent précocement ces appareils.
Les radiations émises par les téléphones portables et les antennes relais de téléphonie mobile ont été liées à des dommages sur l'ADN, au cancer, à une déficience immunologique, à des maladies neurologiques, à une fertilité détériorée et à des impacts sur la fonction neurologique, en ce compris la connaissance, le comportement, la performance, l'humeur et les perturbations du sommeil.
Les radiations nuisent également à la faune et à la flore et constituent autant une question environnementale qu'une question de santé humaine.
La presse canadienne relaie cette nouvelle méta-analyse dont nous vous parlions ici. De plus en plus d'études font état de problèmes de santé parmi la population vivant à proximité d'antennes relais cellulaires, concluent les auteurs d'un article publié par le Conseil national de recherches Canada (CNRC) et rapporté par Le Soleil, le 12/11/2010.
(5/11/11)Une nouvelle méta-analyse réalisée par le chercheur Henry Lai de l'Université de Washington et la journaliste scientifique Blake Lewitt sur les effets sanitaires des rayonnements électromagnétiques émis par des antennes relais (et d'autres types d'antennes comparables) est publiée par les Presses scientifiques du CNRC (Conseil National de Recherches Canada).
(3/11/10) Une enquête sans concessions de Global News Canada et son émission d'investigation "16:9 - The Bigger Picture" sur la controverse des nuisances sanitaires du Wi-Fi dans les écoles au Canada et en Europe.
Diffusée à la mi-octobre 2010 au Canada anglophone, cette vidéo désormais sous-titrée en français vous est offerte grâce au travail d'un petit groupe de bénévoles, indignés par le laissez-faire irresponsable des pouvoirs publics et de l'industrie, qui hypothèque gravement la santé des plus vulnérables.
BRUXELLES - « Des millions de gens sont exposés involontairement aux rayonnements dont ne connaissons qu'insuffisamment les conséquences pour le corps humain » dit le professeur Stefaan Van Gool (KU Louvain).
L'oncologue Stefaan Van Gool de la KU Louvain se spécialise depuis des années dans la problématique des rayonnements GSM et d'autres réseaux. Avec le professeur Olle Johansson du Karolinska Institut suédois et l'institut royal pour la technologie à Stockholm, il a écrit une lettre ouverte aux responsables politiques de notre pays. Cette lettre a été signée par une vingtaine d'éminents scientifiques d'Europe et des Etats-Unis. Beaucoup d'entre eux sont professeurs dans des instituts renommés.
Balade électromagnétique à Auderghem + projection d'un documentaire.
Départ : Métro Hankar
Etes-vous également inquiets de la présence de toutes ces antennes de téléphonie mobile et des ondes qu'elles émettent ? Vous interrogez-vous sur leur nocivité pour la santé? Où sont réellement installées les antennes à Auderghem ? Saviez-vous que des antennes micro-relais sont cachées dans nos rues ?
Pour clarifier ces questions, un groupe de citoyens rassemblés au sein du Collectif Dé-Mobilisation, organise une ‘balade électromagnétique' le dimanche 14 novembre après-midi.
Vous êtes toutes et tous invités à cette balade, pendant laquelle nous montrerons où sont placées et cachées les antennes de téléphonie mobile à Auderghem. Munis d'appareils de mesure, nous établirons leur niveau de radiation.
Le but de cette rencontre est aussi d'éclairer, en langage simple, les différents aspects de la problématique des champs électromagnétiques: l'impact sur la santé, la législation et les normes d'exposition, l'électrosensibilité, les dimensions sociales de la téléphonie mobile, etc.
La promenade sera suivie de la projection du film documentaire "Full Signal" et d'un débat sur la société sans fil.
(26/10/10) L'Internet sans fil (Wi-Fi), les téléphones domestiques sans fil (DECT), les consoles de jeu sans fil et même les babyphones DECT sont aujourd'hui omniprésents.
Une partie de la communauté scientifique tire la sonnette d'alarme vis-à-vis des risques sanitaires de ces technologies.
Qu'en est-il et quelles sont les recommandations ?
Téléchargez le nouveau dépliant Teslabel !
(Mise à jour : 21 juillet 2011 incluant une nouvelle étude sur le Wi-Fi et de nouvelles recommandations concernant le Wi-Fi "communautaire")
(25/10/10) Une nouvelle publication dans le Journal International de Santé occupationnelle et environnemental, un important journal scientifique à comité de lecture, établit que sur l'ensemble des études épidémiologiques évaluant les effets sanitaires possibles de stations de base de téléphonie mobile (communément appelées en Belgique "antennes GSM") disponibles sur la vaste base de données biomédicales américaine Pubmed, 80 % d'entre elles ont signalé une augmentation de symptômes promoteurs de cancers.
(Teslabel, 25/10/10) Ce qui inquiète dans ce document du Conseil Supérieur de la Santé, c'estce qui apparaît bien comme l'inhumanité et le cynisme des auteurs lorsqu'ils parlent de "risque acceptable" et de "risque accepté" : Mais par qui donc ? Et de continuer : "Une approche consistant à réduire de manière plus drastique les niveaux acceptables ou acceptés d'exposition environnementale pour tenter de protéger les individus intolérants ne paraît pas justifiée." (page 22)
(23/10/10) Une nouvelle recherche publiée dans le Journal européen d'Oncologie [1] a montré que les téléphones sans fil DECT qui transmettent un signal pulsé ont un impact sur le rythme cardiaque. L'étude de provocation sur 25 sujets en double aveugle, publiée dans un journal à comité de lecture, valide la condition avancée par un nombre croissant de personnes à travers le monde aujourd'hui appelées « électrosensibles » (ES ou EHS), démontrant des effets immédiats sur le rythme cardiaque, celui-ci doublant pratiquement dans certains cas. L'étude a été menée par le professeur Magda Havas de l'Université de Trent, au Canada.
(RTL, 22/10/10) Dépression, graves problèmes musculaires... les incapacités de travail ont augmenté d'un tiers en dix ans.
En Belgique, le nombre de personnes en incapacité de travail de longue durée (plus d’un an) est passé de 174.000 à 232.000 entre 1998 et 2008, soit une augmentation de 33% en 10 ans.
Les troubles psychiques sont de loin la première cause de cette recrudescence. Epinglés: le stress lié au travail, et les dépressions.
Viennent ensuite les problèmes musculo-squelettiques comme les lombalgies, les rhumatismes ou tous les problèmes liés à l’appareil locomoteur. Autre facteur : le vieillissement des travailleurs (l’âge de la pension des femmes a été relevé et certaines personnes en incapacité de travail sont restées sur la mutuelle plutôt que de prendre leur pension).
Les spécialistes recommandent quelques remèdes : le mi-temps médical, une visite de "préreprise" chez le médecin du travail, changer de poste de travail dans l’entreprise ou tout simplement consulter le médecin de famille ou la médecine du travail.
(Teslabel, 22/10/10) Outre les 3 antennes par opérateur sur chaque pylône (ayant généralement l'apparence d'un baffle), les antennes GSM communiquent entre elles par faisceaux hertziens (FH) directionnels, typiquement par un émetteur-récepteur de forme cylindrique.
Teslabel réitère sa demande de supprimer les communications inter-antennes par voie hertzienne.
Du fait des fréquences plus élevées (10 à 40 Ghz) et de leur haut débit, leurs rayonnements sont, selon toute attente, plus dangereux encore que les faisceaux des antennes relais. Qui plus est elles sont discriminatoires : certaines personnes étant régulièrement exposées à ces faisceaux, d'autres non.
(Teslabel, 20/10/10) L'ordonnance bruxelloise en matière de taux de radiation d'ondes non-ionisantes, émises par les antennes de téléphonie mobile, est entrée en vigueur en mars 2009. Celle-ci limite les possibilités d'émission à 3 Volt par mètre. Il s'agissait alors d'un consensus réalisé au sein du parlement bruxellois, mais rappelons que pour le monde associatif alertant sur les nuisances sanitaires des ondes électromagnétiques, cette norme restant largement insuffisante.
Teslabel, suivant en cela des rapports scientifiques et médicaux, préconise une norme de 0,6 V/m, un niveau éventuellement intermédiaire avant de jauger la situation vers une norme inférieure.